Et je découvris… le Soupirant!

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Walter Dendy Sadler
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Walter Dendy Sadler

J’aime beaucoup la peinture anglaise et les peintres du 19e siècle et du début du 20e siècle.
Je fonds devant le romantisme de leurs sujets et leur façon raffinée de les traiter.
Si je connais bien certains d’entre eux , il en est beaucoup d’autres que je dois encore découvrir.
Je n’ai pas encore pris le temps d’étudier ce thème en profondeur, mais cela fait partie de mes projets!
Il arrive pourtant que j’aie de bonnes surprises par hasard.
A la faveur d’un article, d’un reportage, d’un livre ou plus même d’un jeu, l’une de ces toiles arrive dans ma vie et me touche.
Ca a été le cas ce week-end.
Pour ceux que cela intéresserait, il existe un jeu appelé Art Mogul dans lequel vous faites carrière en tant que galeriste. Et, bien sûr, votre « métier » vous permet de parcourir le monde et de découvrir des chef-d’oeuvres.
Le jeu permet de découvrir 430 tableaux.
Je l’ai depuis deux ou trois ans, j’y joue de temps en temps, et dès qu’un tableau qui m’est inconnu et qui me plaît apparaît, je file le retrouver sur Internet pour en apprendre davantage.
C’est ainsi que j’ai découvert, dans une galerie fictive, Walter Dendy Sadler, peintre anglais de son état (1854 – 1923).
Cet homme a passé sa vie à peindre ses contemporains en les mettant en scène et en parsemant certains de ses tableaux d’humour et de satyre.

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« Le Soupirant » (The Suitor)

Celui qui m’a interpelée, Le Soupirant, m’a une fois encore transportée dans un roman de Jane Austen.
Cet homme en haut de forme et en costume qui patiente devant la porte de sa Dulcinée, accueilli par un chat apparemment très désireux de lui témoigner son amitié…  tout me plaît dans cette toile.
Dans le jeu, je n’en avais pas vu les détails.
Mais quand j’en ai parlé à mon Capitaine, il a réussi à me trouver une production en meilleure définition, (celle-ci sur laquelle il vous suffit de cliquer pour la voir en grandeur réelle), permettant d’accéder aux détails  comme l’expression du visage, les fleurs du jardinet, les meubles devinés à travers la fenêtre, les plis de la toile du parapluie, les taches d’usure sur le mur… Je ne l’ai pas encore fait jusqu’ici, mais, comme je ne pourrai jamais m’entourer de toutes les oeuvres qui me plaisent, je vais m’empresser d’ajouter une catégorie peinture sur mon compte Pinterest devenu mon grenier à coups de coeur.
Ce musée virtuel que je pourrai visiter à ma guise et sans horaires imposés va devenir le support de certains de mes rêves…
Martine Bernier

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