Le nombre d’or me poursuit…

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Sans doute est-ce un hasard et peut-être cela arrive-t-il à chacun d’entre nous.
Toujours est-il que, depuis très longtemps et de manière cyclique, ce que l’on appelle le nombre d’or revient dans ma vie par l’intermédiaire de personnes qui m’en parlent.
A tel point que ce chiffre de 1,618034 connu sous le nom de phi s’est imposé de lui-même, me révélant ses dessous par l’intermédiaire d’artistes, d’artisans et de mathématiciens qui, tous, lui sont proches.

L’un des premiers artistes qui l’utilisa fut Léonard de Vinci.
C’est lui qui le baptisa phi et qui l’introduisit dans ses tableaux.
Mais qu’a-t-il de magique, ce chiffre mystérieux?
Il apparaît dans beaucoup de formes que les Grecs de l’Antiquité considéraient comme sacrées.
Donc, ils pensaient qu’il était magique, tout naturellement.
Par exemple, dans  une étoile à cinq branches, le rapport entre le plus long et le plus petit des côté est phi.
Les artistes se sont eux aussi intéressés à lui, découvrant au passage que les formes où le phi intervenaient possédaient les proportions les plus harmonieuses.
Quant aux architectes de la Grèce antique, ils l’ont utilisé pour construire leurs monuments.
Enfin, si vous tracez des triangles d’or dont les côtés mesurent 1 et phi, que vous le partagez en un carré et un rectangle et que vous reproduisez la même opération dans les rectangles obtenus, vous allez obtenir la fameuse spirale d’or qui ressemble à la coquille du nautile. spiraledor

Aujourd’hui, le nombre d’or est toujours utilisé dans de très nombreux domaines artistiques et autres.
Et je continue  d’écouter ceux qui m’en parlent et qui, à chaque fois, rajoutent leur savoir à ce que je sais déjà…

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