Kaléidoscope…

 

Spathiphyllum-wallisiiL’événement est tellement rare que je ne peux pas le passer sous silence!
Cette semaine, comme il le fait souvent, le spathiphyllum de mon bureau a fleuri.
Mais exceptionnellement, pour la troisième fois en sept ans que nous vivons côte à côte, ses fleurs blanches dégagent un parfum extraordinaire…
En faisant quelques recherches, j’avais appris que le phénomène s’explique par le fait que ma plante doit faire partie de la variété Spathiphyllum Wallisii « Mauna Loa », seule à offrir des spathes parfumées.
Les spathes étant le nom donné à ces fleurs, qui valent à la plante le surnom de « Fleur de Lune ».
Je sais que j’en ai déjà parlé sur Ecriplume, mais je ne peux laisser passer le phénomène sans le saluer, d’autant que toutes ses floraisons ne m’apportent pas ce cadeau…
Une chose est sûre: cette plante ne me quittera pas.
D’autant que je sais que, même si elle fait partie des plantes les plus communes en appartement, elle est aussi réputée pour être un excellent dépolluant.

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Je reçois cette semaine un mail sur ma boîte Ecriplume.
La personne qui m’écrit me demande ceci: « Vous avez parlé du sérum que vous utilisez au quotidien, cette semaine. De quel sérum s’agit-il? »

Sérum?
Je n’avais pas le souvenir d’avoir signé  un article cosmétique dans la semaine.
J’ai donc cherché et… cette dame avait raison.
Le 28 juin, j’ai bien parlé d’un sérum… mais pas vraiment pour le présenter!
Il s’agit donc d’un produit que m’a un jour rapporté mon Capitaine pour que je l’essaie: Age Perfect, Cell Renewal de l’Oreal, Sérum doré.

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Un coup d’oeil par la fenêtre, ce matin, m’indique qu’un temps presque automnal a pris possession des lieux.
De la brume assez épaisse cache le paysage.
La fraîcheur me ravit, et je ne suis pas la seule.
Le balcon est pris d’assaut par un groupe de moineaux piaillant, apparemment insensibles à la grisaille.
Pomme, qui a pris l’habitude de défendre « son » balcon face aux corneilles, ne laissent plus les oiseaux s’approcher sans les chasser vigoureusement.
Mais cette fois, elle se contente de lever la tête de son panier, de jeter un coup d’oeil à la petite meute turbulente et de se recoucher en me lançant un regard équivoque que je traduit par: « Ah, ces gamins… »

Martine Bernier

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