37, 38, 39… 45!

Mais!
Qu’est-ce que c’est que cet été si chaud que nous osons à peine mettre le nez dehors?
Lorsque nous sommes arrivés en Franche-Comté, l’an dernier, mon Capitaine et les personnes que nous avons côtoyées m’ont toutes dit que les étés étaient parsemés d’épisodes de pluie dans la région.
Ce qui me convenait parfaitement à mon ascendant canard.
C’était compter sans le réchauffement climatique et les nouvelles donnes de la météo…
Depuis des jours et des jours, les thermomètres extérieurs flirtent non plus avec les 30°, mais bien avec les premiers chiffres de la quarantaine.
Et bien sûr, les nuits ressemblent à des fournaises inhospitalières.Andre+Kohn.+Vintage+Chanel.+24x24.+Oils.+£4950
Mon Capitaine a donc mis sur pied une contre-offensive de choc: un brumisateur extérieur branché sur l’eau du puits, l’utilisation plus fréquente de la clim’ lorsque nous sommes sous la véranda, le recours aux ventilateurs et un mode de vie méditerranéen plébiscitant les volets clos aux heures chaudes.
Cette façon de fonctionner permet de supporter plus facilement la période, avec un objectif: tenir au moins jusqu’à jeudi prochain.
Pourquoi?
Parce que ce jour là, la météo prédit de la pluie.
Elle l’avait déjà annoncée pour plus tôt, mais semble s’être ravisée devant la mauvaise volonté des nuages.
Cette prévision a été suivie par une déclaration de mon Capitaine m’affirmant que les première pluies du mois d’août marquent la fin des fortes chaleurs.
Le tout est donc de savoir si ces mots reposent sur une alléchante vérité… ou sur l’envie de me réconforter.
En attendant, je me console en regardant les tableaux rafraîchissants d’André Kohn… comme celui-ci.

 

Martine Bernier

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