Jolis corbeaux et belles rencontres

Une fois encore, jolis corbeaux qui posez dans ma boîte mail des messages sur un couple que visiblement vous détestez, pourriez-vous avoir la bonté de ne pas passer par moi pour servir d’intermédiaire?
Je sais que cette femme est ce que vous décrivez et je connais par coeur la comédie médiocre que vous me contez en détails.
Une fois encore je comprends votre sentiment, votre mépris.
Vos projets et l’étrange coalition que vous avez formée autour d’eux un peu moins.
Puisque vous le citez dans vos messages, « Le dîner de Cons » est un scénario qui provoque l’hilarité au cinéma ou au théâtre, mais pas dans la vie réelle.
En tout cas pas chez moi.
Même quand le rôle du c… est tenu par un couple que je ne porte pas dans mon coeur.
Je ne suis pas convaincue que la cruauté et la bêtise des uns doivent appeler en retour la même bêtise et la même cruauté de la part des autres.
Merci de me laisser en dehors de vos vies.

Après m’être évadée de l’hôpital (non, décidément, les jours à venir sont trop importants pour y renoncer… mais promis, je reprendrai le chemin de la salle d’opération dans quelques jours), j’ai fait ce mercredi l’interview d’un homme que j’apprécie et que j’admire, connu et reconnu en Suisse et en Europe pour ses connaissances pointues dans le monde du vin et de la gastronomie notamment. Impossible pourtant de le cataloguer: c’est un homme de culture…
Nous avons plusieurs fois travaillé ensemble, mais c’est la première fois que je l’appréhendais de manière aussi globale.
Même si nous avons eu des conversations intimes, notamment à la sortie de son livre.
Conversations dont je suis toujours sortie marquée par son intelligence, sa sensibilité, son humilité et sa droiture.
Je parlerai dans la semaine de cet instant magique qu’il m’a offert.

Comme je parlerai d’une jeune femme épatante rencontrée également ce mercredi: Gaby.
Une magicienne du goût et des saveurs, pétillante d’esprit et d’humour, véritable bulle de champagne à elle seule.
Une rencontre magnifique.
Mais ce soir, je n’ai qu’une envie, après être rentrée tard: apprendre à Pomme à aimer l’orage.

Martine Bernier

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