Les notes devenues mystères…

 

1411960859282Depuis toujours, j’ai le réflexe de noter dans des carnets une multitude de choses.
Et notamment de glisser le nom de tout ce qui m’intrigue et que je veux approfondir par la suite.
Depuis quelques années, et plus particulièrement depuis l’entrée d’un iPad dans ma vie, c’est elle qui recueille la plupart de ces notes lorsque je ne suis pas en déplacement.
Comme, en général, je n’ai pas le temps de développer lorsque j’inscris les indications pour retrouver le sujet en question, il arrive, comme ce matin, que, quelques semaines ou même mois plus tard, je ne sache plus du tout de quoi il s’agit.
C’est ainsi que, ce matin, j’ai ré-ouvert une note titrée « washi ».washi-potluck
En me disant que je trouverais sans doute à l’intérieur quelques mots me rappelant de quoi il s’agit.
Mais non.
Rien.
J’ai donc eu recours à Google pour m’éclairer…
Et je me suis rappelé, dès la première trouvaille, qu’il s’agissait du papier matériel « enregistré comme patrimoine culturel immatériel » pour trois variétés d’entre eux.
Et me voilà à lire et à découvrir qu’il est réalisé à base d’écorce du mûrier, produit à la main.
J’ai suivi sa fabrication, et je me suis émerveillée devant ce papier à la fois fin, léger et solide…
Il est né au VIIe siècle et continue à faire l’objet de toutes les attentions…
Un magnifique artisanat d’art…
Je ne regrette pas ma manie des petites notes!

Martine Bernier

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