Vestiges d’une semaine de folie..

Quand je suis dans une de ces périodes où la somme de travail à accomplir me fait penser à une montagne à gravir, je pense aux coureurs du Tour de France.
Mon clavier fait office de petit vélo, ne reste plus qu’à avancer…
Arrivée au week-end, je suis plutôt contente.
Mais en regardant mon bureau, je réalise que si j’ai bel et bien réussi à rendre l’urgence dans les délais, deux grosses piles se sont formées sur mon bureau, attendant elles aussi mon bon vouloir.
Tsss…

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Depuis quelque temps, mon iPhone m’empoisonnait la vie.
Après quelques années de bons et loyaux services, il avait décidé de gagner son autonomie.
Sa façon de me le montrer?
M’empêcher de raccrocher à la fin du conversation.
Pénible.
La seule façon de la couper était d’éteindre l’appareil.
J’ai fini par me décider à remplacer l’indomptable.6s_fish-485x650-copie
Et j’ai repris un iPhone pour des raisons pratiques, me rabattant sur l’avant-dernier modèle sorti.
Je ne suis pas très « téléphone », tous mes amis et mes proches les savent.
Mais je sais que je ne peux pas m’en passer, notamment pour le travail.
Hier, donc, le nouveau spécimen est arrivé discrètement.
Ce que j’ai préféré?
L’image de la boîte!
Mais comme on n’achète pas un téléphone pour son emballage, c’est bien connu, je me suis décidée à consacrer un peu de temps pour le mettre en service et rapatrier mes données.
C’est ainsi que j’ai expérimenté un détail dont je n’avais pas bénéficié jusqu’ici et qui m’a amusée: la reconnaissance grâce aux empreintes digitales.

Oui, je sais: je suis désespérément ringarde par rapport à ceux qui l’ont expérimentée depuis belle lurette!
Pas grave!

J’aime le fait de ne pas avoir à constamment introduire un code pour avoir accès à la bête…
On n’arrête pas le progrès!

Martine Bernier

par

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