Le mini labo du sommeil

Plusieurs fois au cours de ces dernières années, des médecins m’ont conseillé de passer par un Centre ou une clinique du sommeil afin de comprendre les troubles qui lui sont liés.
Je n’ai pas donné suite, tout en sachant que ces insomnies chroniques, même si j’ai appris à vivre en leur compagnie, ne sont pas d’excellentes choses.

Et puis… j’ai réalisé que cette fameuse montre Alta dont j’ai parlé ici voici quelques jours, disposait d’une fonction sommeil.
Je ne voyais pas trop à quoi elle pouvait servir, mais j’ai fini par la brancher par curiosité, et j’ai laissé passer une semaine.
Hier soir, je me suis décidée à regarder le journal de mon sommeil.
Et j’ai découvert des tableaux statistiques et des indications m’apprenant de combien d’heures de sommeil, d’agitation et de phases de réveil étaient composées mes dernières nuits.
Le choc.

Comme beaucoup d’entre nous, je m’arrange pour aller coucher sagement à une heure qui me permet en principe de disposer de sept à huit heures de sommeil si possible.
Mais en découvrant ces graphiques qui prennent également en compte les heures du coucher et de réveil, j’ai réalisé que le sommeil réel était réduit à peau de chagrin avec une moyenne se situant entre 4 et 5 heures par nuit.
De quoi expliquer bien des choses.
Phase 2 pour moi: trouver des solutions maintenant que j’ai précisément pris conscience du problème.
Pourquoi ai-je choisi d’en parler sur Ecriplume?
Certainement pas pour ouvrir le journal d’une insomniaque, mais pour signaler à celles et ceux qui se posent des questions sur leur propre sommeil que ce genre d’analyse est possible.
Et qu’elle est plutôt intéressante pour apprendre à mieux connaître ce qui se passe dans nos périodes d’inconscience ou de semi-conscience…

Martine Bernier

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