Les animaux tiennent une place de plus en plus importante dans notre environnement.
Y compris ceux qui ne vivent pas avec nous.
Deux exemples…
A chaque fois que nous nous rendons à l’animalerie où je me procure la nourriture des poules, je rends visite au cacatoès blanc qui y vit seul dans une cage.
Une cage grande, me direz-vous… mais une cage quand même.
Je crois en avoir déjà parlé: en Suisse, il n’est pas autorisé de vendre un perroquet seul.
C’est en duo, en couple ou rien.
Dès notre première visite dans ce magasin, j’ai été happée par les cris stridents de ce bel oiseau et je suis allée le voir.
Depuis, je lui rends visite à chaque passage.
Je n’aime pas le voir enfermé… et je suis touchée par son besoin de contact, sa manière de répondre par le geste aux caresses.
Lors de notre dernière visite, je suis allée parler à la vendeuse.
Elle l’a sorti pour me montrer combien son oiseau est câlin.
Il est allé tendrement se blottir dans son cou…
J’ai appris qu’il est là depuis l’été, qu’il s’agit d’une femelle, et que le prix très élevé qui lui a été attribué devrait suffire à dissuader d’éventuels acheteurs…
3400 euros, c’est très, très cher… et tant mieux.
Au moins ne sera-t-il pas acheté par caprice.
Car l’équipe de vendeuses et vendeurs semble s’être attachée à ce bel oiseau si tendre.
A propos… elle s’appelle Lilou!
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Hier soir, il est presque 23 heures lorsque la corne de la forêt de Sherwood m’avise que j’ai reçu un SMS.
Oui, je sais, c’est un peu bizarre d’avoir choisi cette sonnerie pour me prévenir, mais j’aime bien!
Je prends mon téléphone, et lis ceci: « Ca y est, je suis mamie! »
Le message provient de la fille de mon Capitaine, et est accompagné d’une photo de Belle, sa Maine-Coon et des cinq chatons qu’elle a mis au monde quelques heures auparavant.
Les photos qu’elle m’envoie son évidemment craquantes, et je suis touchée par les premiers pas de jeune maman de Belle que nous connaissons bien.
Cinq bébés maine-coon… les prochaines semaines s’annoncent animées!
Martine Bernier
