Ballons de Tournai

Je lisais un article sur Clovis, roi des Francs, lorsque j’ai lu une phrase rappelant que, lorsqu’il n’était qu’un très jeune roi de 15 ans, il avait fait de Tournai (actuellement située en  Belgique), la première capitale de ce qui deviendra la France, ou tout au moins du Royaume des Francs.

Tournai…
Les méandres du cerveau étant ce qu’ils sont, j’ai commencé à me demander ce que je connaissais de la ville.
Et ce qui m’est revenu, ce sont son passé historique et… les ballons de Tournai.
Ce sont des bonbons noirs et durs dont la recette date de 1838.
Lorsque je vivais en  Belgique, ils étaient populaires et réputés pour apaiser les maux de gorge.
Et voilà comment l’on passe en l’espace de deux minutes d’un sujet d’Histoire à une confiserie…

Martine Bernier

par

6 réflexions sur “Ballons de Tournai”

  1. Souvenirs !
    Etant natif du Tournaisi, et ayant habité Tournai pendant 4 ans, je les connaissais bien.
    Belle ville au demeurant, avec sa splendide cathédrale aux cinq clochers, son beffroi, son pont des trous, sa halle aux draps,etc…
    Ville faisant partie de la grande Picardie, héritage de Clovis, je suppose.
    Il paraît que j’en ai toujours garder un léger accent picard, à ce qu’on m’a déjà dit.

    Grand bonjour à vous deux.
    Daniel

    1. Bonjour, Daniel! J’ignorais que tu avais tes racines à Tourna: c’est donc un clin d’oeil involontaire que je t’ai fait! Merci pour les petits renseignements supplémentaires! Bisous à vous deux!
      Martine

  2. Bonjour Martine.
    En fait je suis natif de Bonsecours (actuellement Bon-Secours) sur la frontière française, non loin de Valenciennes, où j’ai habité jusqu’à mes 14 ans, avant d’aller à Tournai..
    Notre maison avait la particularité d’avoir l’entrée sur la Belgique, et une sortie arrière sur la France.
    Je suis donc aussi un peu chti, mon grand-père étant originaire de Lille.
    Bisous.
    Daniel

    1. Avec une maison à cheval sur deux pays, ta famille a dû être souvent sollicitée par les journalistes locaux!! Bisous à vous deux! Martine

  3. Non, c’était le lot de toutes les maisons de ce côté de la rue, la sortie des jardins où des garages arrière donnant sur une allée forestière située en France.
    A l’époque, il fallait payer une redevance annuelle aux douanes et accises françaises pour pouvoir passer par ce chemin en voiture, du fait que nous ne passions pas par un poste de douane.
    C’était toute une époque, et il y en aurait à raconter.
    Bisous à vous deux.

    Daniel

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