Y a-t-il du bon dans le mauvais?

Tous les jours, les actualités, sur toutes les chaînes, ne nous parlent plus que du coronavirus. 
Difficile de faire autrement: le monde est à l’arrêt…
Et parfois, il y a de petites choses qui nous interpellent.
Comme cette dame âgée qui se trouvait complètement seule à arpenter un quartier parisien.
L’image était surréaliste.
Interrogée par le journaliste qui passait, elle a été stupéfaite d’apprendre qu’il y avait une pandémie et que personne ne devait sortir.
Elle vivait dans une autre dimension…

Et puis, il y a de temps en temps un article montrant les effets du confinement sur la planète.
La pollution est largement réduite, à un point que nous n’aurions jamais pu atteindre en temps normal.
Et les effets de cette situation sont observés par Copernicus, le programme de surveillance de la Terre.
Les images satellites montrent une baisse considérable du taux de dioxygène d’azote au-dessus de la Chine, de l’Italie et des pays où les habitants sont confinés.
Débarrassées de leur tourisme de masse, les eaux des canaux de Venise sont redevenues limpides.
Les oiseaux gazouillent à nouveau dans les villes endormies, les canards trottinent dans les rues de Paris…
C’est l’un des rares effets positifs de cette expérience que nous vivons, tragique pour tant de familles.
La planète respire pendant que les humains étouffent…

Martine Péters

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