Les goulus

En moins d’un mois, nos quatre coureurs indiens sont passés de l’état de canetons à celui d’ados affamés.
De ceux qui vident le frigo à chacun de leurs passages, et dont on a tendance à dire que, économiquement parlant, mieux vaut les avoir en photo qu’en pension!
Désormais aussi grands que leurs mères d’adoption lorsqu’ils se tiennent bien droits, ils continuent à évoluer sous l’oeil très vigilant de la plus impliquée de leurs mamans, Chine, que l’on voit sur la photo ci-dessus.
Au fond, à gauche, elle surveille le repas des fauves que partagent mes deux poules hollandaises, peu impressionnées par ces convives gloutons.
Les Pékins, elles, restent prudemment en retrait… et mangent beaucoup moins qu’avant.
J’ai donc décidé que dès que nos protégés palmés auront atteint leur taille adulte, les repas seront désormais servis dans deux salles à manger bien distinctes, chacune dans un enclos séparé.
Seul moyen pour mes Boulettes de pouvoir se nourrir avant que nos quatre aspirateurs à nourriture ne leur chipent leur pitance.

Martine Péters

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