Tristesse…

Des images affolantes… 
Un véritable champignon nucléaire provenant d’une ville en flammes, des personnes ensanglantées, blessées, hagardes, désespérées.
Des bâtiments, des quartiers entiers  détruits.
Et nous sommes là, impuissants, à assister au calvaire du Liban, ce pays qui a déjà tellement souffert…
Je n’ai pas oublié les reportages que nous avons tous regardés pendant quinze, jusqu’en 1990, montrant cette guerre interminable qui y sévissait.
C’était déjà d’une tristesse infinie… et nous nous demandions si cela se terminerait un jour.
J’ai  une amie libanaise, cultivée, intelligente et d’une gentillesse rare, qui m’a permis il y a quelques années de découvrir plusieurs facettes de son pays, de sa culture.
Je sais combien elle souffre devant ce drame innommable…
Par bonheur, aucun de ses proches n’a été touché.
Aujourd’hui, le martyr de ces habitants me bouleverse, eux dont le quotidien était déjà tellement difficile.
Comme la plupart d’entre nous, tout ce que je peux faire dans de tels cas, c’est de m’associer à l’effort général en apportant une aide financière, dans la mesure de mes moyens.
En France, la Fondation de France a lancé une campagne de dons.

Martine Péters

 

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