Le « bon » stress

Je pense que nous devons être très nombreux dans ce cas.
Comme je l’ai toujours fait lorsque j’ai beaucoup de tâches à accomplir, j’ai ressorti  mes listes et mes carnets, précieux auxiliaires pour ma mémoire.
L’un des blocs recueille toutes mes notes sur l’une des activités que je mets en place en ce moment, un autre me sert d’aide-mémoire me permettant d’éviter d’oublier la moindre chose.
Trois  valisettes à soufflet facilitent le classement des documents se rapportant à chaque activité, les dossiers de différentes couleurs fixent des repères dans la jungle des papiers importants, les calendriers et agendas me rappellent de ne manquer aucune échéance, etc, etc.
J’ai divisé la journée en tranches horaires auxquelles sont attribuées des choses à faire… sans m’accorder la possibilité de me détourner du droit chemin!

Pour cela, je m’attaque au gros bloc de tâches urgentes en essayant de ne pas repousser aux calendes grecques  celles qui peuvent patienter quelques jours.

Puis arrive le soir.
Une fois la lumière éteinte, je réfléchis à ce qu’il reste à faire, avec le sentiment d’être un alpiniste parti à l’assaut de l’Himalaya.
A chaque fois que j’avance de quelques mètres, le point d’arrivée semble  reculer… et d’autres tâches nouvelles s’ajoutent aux autres sur mon bureau.

Quand je commence à regretter que les journées ne fassent que 24 heures chacune, j’ai un truc imparable pour reprendre pied.
Je me rappelle que si mes journées devaient être oisives, je m’ennuierais à périr…
Le stress n’est pas toujours négatif… quand il accompagne une situation que nous avons choisie et voulue, il est un booster d’énergie absolument irremplaçable!

MP

 

 

                                                                                                                                                                                                         

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