Pique et pique…

Je n’ai plus envie de craindre les contacts dès qu’un enfant de l’atelier d’écriture m’approche…
D’ailleurs, la plupart du temps, j’ai tendance à oublier que Maître Covid risque de s’inviter…
Nous portons des  masques, nous respectons les distances, mais un enfant enthousiaste court, exprime sa joie sans forcément se tenir à distance… et c’est normal.
J’ai donc pris la décision de partir en quête d’un vaccin et j’ai appelé le Centre de Santé où officie ma doctoresse.
J’ai parlé à l’infirmière qui s’occupe traditionnellement des vaccins contre la grippe, consciente que je ne fais pas partie des tranches d’âge éligibles concernées pour le moment.
Mais je savais que si je faisais état de mes petits soucis de santé, cela pourrait faire changer la donne.
Bingo. Mes failles dont désormais office de sésame! C’est bien la première fois qu’elles me servent à quelque chose.
Un téléphone du médecin m’a confirmé que j’allais bénéficier d’un vaccin et qu’un rendez-vous allait m’être fixé par l’infirmière… sachant que nous parlons ici d’Astrazeneca.
Il m’a été demandé si j’acceptais ce produit qui fait beaucoup parlé de lui, de manière très polémique.
Une récente interview que j’ai faite d’un médecin chef au CHUV (Lausanne) m’a confirmé dans mon idée.
J’ai accepté cette option sans appréhension… comme des millions de gens l’ont fait avant moi.
Qui vivra verra!

Martine Péters

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