Le rosier mystère…

Samedi, nous recevions l’un de nos bons amis.
Connaissant mon amour pour les plantes fleuries, Georges m’en offre une à chacune de ses visites, poussant le goût du détail jusqu’à en chercher qui correspondent en tout point aux couleurs que j’affectionne.
Cette fois, il s’est surpassé… en m’offrant un beau rosier rose fuschia, destiné à devenir un grimpant, et rempli de fleurs ressemblant à des pivoines.
Evidemment, comme à chaque fois que j’accueille un nouveau protégé, j’ai cherché à en savoir plus sur lui et je l’ai photographié.
Mais j’ai compris très vite que ce ne serait pas simple: Sparkling Select était presque invisible sur le Net.
Je cherche toujours à connaître le nom du créateur d’un rosier avant d’élargir mes recherches à son histoire.
Mais là, à part quelques données techniques, l’étiquette ne me livrait qu’un indice: ce rosier venait des  Pays-Bas.
Dimanche matin, j’ai appelé le magasin qui l’avait vendu à notre ami.
Mais là non plus, je n’ai pu obtenir aucun renseignement de plus.
Bien décidée à trouver ce que je cherchais, je suis retournée sur internet, et j’ai fait mes recherches… en néerlandais.
C’est ainsi que j’ai fini par trouver tout ce que je cherchais.
Mon nouveau rosier, malheureusement sans parfum, va figurer dans le deuxième livre que j’écris actuellement sur mes roses, et est donc le premier spécimen provenant des Pays-Bas à entrer dans la roseraie!
Pour moi, il restera « Le rosier de Georges »!

Martine Péters

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