Malade, oui, mais…

Nous sommes entrés dans la période de l’année où traditionnellement, les microbes et autres virus s’en donnent à coeur joie.
Et ce depuis toujours, y compris à  une époque où l’écrasante majorité d’entre nous ne connaissait même pas l’existence du coronavirus ou la signification des mots « gestes barrières ».
Il était donc normal que je me transforme moi aussi en gîte étape non consentant pour un microbe voyageur.
Cet hôte très mal élevé m’a fait passer une semaine désagréable, et n’en a pas fini de se montrer insupportable.
Je ne désespère pas de le voir partir pour de bon dans les heures qui viennent.
Il l’a bien compris d’ailleurs: plus je récupère, plus c’est lui qui s’affaiblit, ce qui le pousse à quelques coups bas, sorte de pitoyable baroud d’honneur.  
Durant ces jours compliqués où son plus grand plaisir était de me transformer en poupée de chiffon, je me suis fixé comme consigne absolue de me forcer à travailler un peu chaque matin et… à récupérer ensuite.
Lorsque nous avons de la fièvre assortie de toutes les joyeusetés dues à ce genre de phénomène, il faut bien l’avouer: nous ne sommes pas bons à grand-chose.
Mais, durant ce laps de temps est arrivé un mini événement qui m’a occupée sans effort: les ordinateurs mac ont pu effectuer la mise à jour vers Montherey.
J’ai profité que j’avais du temps pour la mener à bien, et pour lire ce que j’ai trouvé sur le sujet dans les revues informatiques auxquelles je suis abonnée.
Aujourd’hui, je découvre les nouveautés de cette mise à jour, je teste… et je reprends le fil de mes activités avec délices!

MP

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