Un Gérard en cache un autre

Celles et ceux qui me connaissent depuis longtemps savent que, depuis des années, je surnomme l’un de mes reins « Gérard ».
Mon Gérard, après avoir été, durant des décennies, responsables (ou victime…) de péripéties en tout genre, extrêmement désagréables, est aujourd’hui dompté sous un amas de médicaments que j’ai tout intérêt à ne pas oublier de prendre .
Bref. 
Lorsque j’ai appris que la tempête qui sévit en ce moment en France a elle aussi été surnommée Gérard, j’ai eu une pensée pour tous les hommes qui portent ce prénom et qui ne méritent sûrement pas de le voir associés à des phénomènes déplaisants.
Cela m’a ramenée des années en arrière, lorsque j’ai rencontré pour la première fois le médecin néphrologue qui m’a suivie pendant longtemps, après que j’aie subi plusieurs opérations.
Nous avons établi dès les premiers instants une relation privilégiée.
Lorsqu’il a appris que j’avais baptisé ce rein mal élevé, il avait absolument voulu que je lui révèle son prénom.
Et cela avait donné lieu à une scène hilarante dont j’avais parlé sur Ecriplume ici.
C’était en 2011… j’en ri encore quand j’y repense!

 

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