Anne Parillaud et la Marquise

Ce soir, la télévision française diffusera un téléfilm sur l’un des personnages féminins les plus sulfureux ayant vécu au 17e siècle: la Marquise de Brinvilliers.
On dit d’elle qu’elle était belle, pleine de charme, que son enfance fut marquée par des épreuves très lourdes (orpheline de mère très jeune, sous le joug d’un père qui ne lui a pas laissé vivre sa foi comme elle le souhaitait, victime de viols répétés de la part de ses frères…) qui ont fait d’elle un monstre.
De sa vie, on a retenu les meurtres qu’elle a perpétrés en utilisant l’arsenic, poisson indécelable alors nouvellement découvert, les excès, le vice et la débauche qui ont jalonné son existence.
Une existence qui a fini sur l’échafaud.

Le téléfilm est à voir pour le sujet, bien sûr, sachant que le personnage nous plonge dans une époque historique passionnante, mais aussi pour l’interprète de la Marquise.
C’est Anne Parillaud, qui, avec son intelligence, sa sensibilité et sa culture, se glissera dans les atours de la Brinvilliers, femme qui la fascine au point que c’est elle qui a monté le projet de ce film.

Je ne regarde la télévision qu’une ou deux fois par mois, lorsque j’ai enregistré une émission particulière.
Il peut donc semblé bizarre que je me réjouisse de l’événement.
Pour le personnage et pour l’actrice, je regarderai.

Martine Bernier

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